Béatification de Joël Anglès d’Auriac

Anglès d'Auriac

Né à Toulon, le 25 février 1922, élève chez les Maristes puis au lycée Peiresc, Joël Anglès d’Auriac fait sa promesse scoute en 1941 et part pour le STO le 12 juillet  1943.

Avec d’autres jeunes chrétiens, il y assure un apostolat clandestin. Condamné pour haute trahison le 20 octobre 1944, il est décapité à Dresde le 6 décembre suivant. Il peut, avant d’être exécuté, recevoir la communion des mains d’un prêtre allemand qui rapportera ses dernières paroles : « Je suis tout tranquille ; je peux dire que je me réjouis d’aller à la mort, car je vais à Jésus-Christ. C’est Lui Qui m’a si bien conduit. Je Le remercie de tout mon cœur. Je n’ai qu’un seul souci, c’est celui de ma famille ».

A ses parents, il laissa ces mots : « Ne soyez pas tristes. Soyez certains que j’accepte l’épreuve presque avec joie et je l’offre pour vous tous… Le Seigneur est avec moi et je vais certainement le voir de plus près. Lui seul est la vie réelle ; le secret de la vraie joie… Ma dernière prière : ‘Vivez avec le Seigneur. Il est la vie’. Adieu… »

Avec lui 49 autres catholiques déportés à Buchenwald, Mauthausen, Dachau ou Neuengamme, victimes du régime nazi, et qui mourront en haine de la foi entre 1944 et 1945 seront béatifiés ce samedi 13 décembre 2025 à Notre-Dame de Paris sous la présidence du cardinal Hollerich, archevêque de Luxembourg, en présence de nombreux évêques français et allemands.

Publié le 12 décembre 2025

Béatification de Joël Anglès d’Auriac

Né à Toulon, le 25 février 1922, élève chez les Maristes puis au lycée Peiresc, Joël Anglès d’Auriac fait sa promesse scoute en 1941 et part pour le STO le 12 juillet  1943.

Avec d’autres jeunes chrétiens, il y assure un apostolat clandestin. Condamné pour haute trahison le 20 octobre 1944, il est décapité à Dresde le 6 décembre suivant. Il peut, avant d’être exécuté, recevoir la communion des mains d’un prêtre allemand qui rapportera ses dernières paroles : « Je suis tout tranquille ; je peux dire que je me réjouis d’aller à la mort, car je vais à Jésus-Christ. C’est Lui Qui m’a si bien conduit. Je Le remercie de tout mon cœur. Je n’ai qu’un seul souci, c’est celui de ma famille ».

A ses parents, il laissa ces mots : « Ne soyez pas tristes. Soyez certains que j’accepte l’épreuve presque avec joie et je l’offre pour vous tous… Le Seigneur est avec moi et je vais certainement le voir de plus près. Lui seul est la vie réelle ; le secret de la vraie joie… Ma dernière prière : ‘Vivez avec le Seigneur. Il est la vie’. Adieu… »

Avec lui 49 autres catholiques déportés à Buchenwald, Mauthausen, Dachau ou Neuengamme, victimes du régime nazi, et qui mourront en haine de la foi entre 1944 et 1945 seront béatifiés ce samedi 13 décembre 2025 à Notre-Dame de Paris sous la présidence du cardinal Hollerich, archevêque de Luxembourg, en présence de nombreux évêques français et allemands.

Publié le 12 décembre 2025

Béatification de Joël Anglès d’Auriac

Anglès d'Auriac

Né à Toulon, le 25 février 1922, élève chez les Maristes puis au lycée Peiresc, Joël Anglès d’Auriac fait sa promesse scoute en 1941 et part pour le STO le 12 juillet  1943.

Avec d’autres jeunes chrétiens, il y assure un apostolat clandestin. Condamné pour haute trahison le 20 octobre 1944, il est décapité à Dresde le 6 décembre suivant. Il peut, avant d’être exécuté, recevoir la communion des mains d’un prêtre allemand qui rapportera ses dernières paroles : « Je suis tout tranquille ; je peux dire que je me réjouis d’aller à la mort, car je vais à Jésus-Christ. C’est Lui Qui m’a si bien conduit. Je Le remercie de tout mon cœur. Je n’ai qu’un seul souci, c’est celui de ma famille ».

A ses parents, il laissa ces mots : « Ne soyez pas tristes. Soyez certains que j’accepte l’épreuve presque avec joie et je l’offre pour vous tous… Le Seigneur est avec moi et je vais certainement le voir de plus près. Lui seul est la vie réelle ; le secret de la vraie joie… Ma dernière prière : ‘Vivez avec le Seigneur. Il est la vie’. Adieu… »

Avec lui 49 autres catholiques déportés à Buchenwald, Mauthausen, Dachau ou Neuengamme, victimes du régime nazi, et qui mourront en haine de la foi entre 1944 et 1945 seront béatifiés ce samedi 13 décembre 2025 à Notre-Dame de Paris sous la présidence du cardinal Hollerich, archevêque de Luxembourg, en présence de nombreux évêques français et allemands.

Dans ce dossier

Publié le 12 décembre 2025